18-04 Depuis le jardin de Quya ... heu de Zaza, le continent est dans la la brume

Pardon aux puristes pour les piquets et le grillage

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Ce ne sera pas ma meilleure journée pour gambader.

J'ai écrit une carte pour l'anniversaire d'une amie et je veux la mettre dans la Bal

Vite descendons vite remontons

Hier pour rentrer de ma balade le long des plages au sable blanc j'ai pris un petit raccourci le réguil (enfin je crois)

Je le prends pour descendre à la poste

Zaza m'a dit au bout du raidillon devant chez Thérèse prend à droite

Je passe devant l'épicerie de Thérèse et prend à droite ...

Il fallait juste pas passer devant chez Thérèse je le comprendrais plus tard

J'aurais quand fait une petite balade

Souvent c'est le premier pas qui compte

Le soir le ciel s'enrosit

Alors qu'au même moment le soleil joue à cache-cache dans les arbres

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19 - 04 - Nous avons la même idée, la même envie aller revisiter le jardin colonial 

Son exubérance contraste avec le paysage maritime environnant. Plantes d’Amérique, d’Australie, d’Afrique et d’Asie se côtoient dans cette oasis insulaire.

Lorsqu'en 1897, Georges Delaselle, un assureur parisien, décide de transformer ce petit coin de dune en un jardin colonial, l'île ne compte aucun arbre. Il entreprend de creuser dans le sable de larges cuvettes pour s'abriter du vent, et met alors à jour, une nécropole datée de l'Âge de Bronze.

La visite permet de découvrir, au gré de la balade, des espaces variés qui forment un ensemble très harmonieux. La Nécropole, avec sa vaste pelouse et ses cordylines, sert d’écrin aux sépultures de l’Âge de Bronze, découvertes par G. Delaselle.

En 1918, la maladie le pousse à s'installer définitivement sur l'île. Il se consacre alors uniquement à son jardin. Obligé de vendre en 1937 l'œuvre de sa vie, il s'éteint quelques années plus tard, rassuré de voir un particulier continuer à s'occuper de son jardin. En 1957, la propriété est transformée en centre de vacances. Peu à peu le jardin va tomber dans l'oubli. Une équipe de bénévoles se lance, à partir de 1987, le défit de réhabiliter ce précieux témoin de l'acclimatation des végétaux exotiques. Cent ans après le début de sa création, le Conservatoire du Littoral en fait l'acquisition pour protéger ce site exceptionnel. Il est actuellement géré par Haut Léon Communauté.

Le jardin vous plait alors revenez là ce n'est que le début