En rouge le sentier de G Cadoudal 

Non pas la ria mais le reflet de la maison dans une flaque d'eau 

Où le nuage cache le soleil et l'oiseau à la lisière

Un peu de fantaisie dans la chevelure de ce bel arbre 

Et là le sentier côtier s'arrête  la petite route me ramènera à ma voiture (voir la carte)

Retour à la voiture 

Puis arrêt à nouveau à Pen-er-Pont

Entre Ria

 Et étang

Entre étang

Et les vasières de la Ria

Et soudain un bel arc-en-ciel

A bientôt pour la suite avec le petit patrimoine autour de Locoal-Mendon 

On poursuit le sentier qui débouche sur un splendide panorama de la ria. On distingue Saint-Cado, à Belz, Sainte-Hélène, des îles, au raz de l'horizon que le ciel breton emplit.

En face Sainte Hélène

La mort plutôt que la grâce

En contrebas, la roche plonge dans le fjord morbihannais. Les parcs à huîtres ont remplacé la cale où les barques chouannes devaient être amarrées. Le chemin se poursuit en longeant la ria, révélant petites plages et grands pins, entre terre et mer.

Combien de combats ont eu lieu ici ? Combien de chouans ont couru sur cette grève ?

En 1799, Cadoudal devient Commandant de l'armée catholique et royale de Basse-Bretagne pour une troisième chouannerie qui échoue encore, alors que Napoléon Bonaparte prend le pouvoir. Il proposera à l'Alréen de devenir général de brigade dans l'armée républicaine. Cadoudal préfèrera s'exiler en Angleterre pour fomenter plusieurs plans pour renverser le premier consul Bonaparte. De retour en France pour en mettre un à exécution, il est arrêté et guillotiné en 1804, refusant la grâce qui lui est offerte alors qu'elle ne l'est pas à ses officiers.

A suivre ... à bientôt

Un lieu, une histoire. Ce superbe sentier de promenade, traversant la forêt puis longeant la ria d'Étel est aussi un haut-lieu historique : le chemin de Georges Cadoudal.

À l'extrémité de l'une des pointes de la presqu'île de Locoal, qui s'avance dans la ria d'Étel, près du village de la Forest, on parvient à l'orée d'un bois. C'est là que débute un petit chemin creux, entouré de murets centenaires qui nous transporte plus de 200 ans en arrière.

1793 : après avoir participé à la guerre de Vendée, aux côtés des royalistes contre les Républicains, Georges Cadoudal est revenu sur ses terres, à Auray, où se trouvent aujourd'hui sa maison natale et son mausolée, à Kerléano, et à Locoal-Mendon dont est originaire sa mère. Il y prend le commandement des troupes locales de chouans, participant notamment à l'expédition de Quiberon en 1795, y soutenant vainement le débarquement des nobles émigrés en Angleterre, en vue de rétablir la monarchie.

Regarder le ciel au travers des branches

Une cache indétectable 

Il devient ensuite commandant en chef de l'armée catholique et royale du Morbihan, avec laquelle il tient tête, dans les campagnes, à l'armée républicaine. Durant cette période, Georges Cadoudal fait de cette pointe de la presqu'île de Locoal, l'une de ses bases.

Ainsi, aujourd'hui encore, au détour du chemin qui porte son nom, on découvre la « cache de Cadoudal »... Sur un talus, de grandes pierres de taille en marquent l'entrée. À l'intérieur, subsiste un petit espace dans lequel on imagine des chouans tapis, préparant une embuscade. On comprend aussi comment cette cache était indétectable . Les lieux sont imprégnés de l'histoire chouanne, dont la légende a traversé les siècles.

Un peu plus loin, un impressionnant chêne, contemporain du grand chef royaliste, couvre de ses branches la clairière au centre de laquelle il a poussé. Il a forcément vu passer Cadoudal et ses hommes. Le sentier mène à la ria, essentielle pour les chouans. Ses méandres, ses îles et presqu'îles, ses criques, leur permettaient de fuir leurs adversaires, et de rejoindre Nostang ou Sainte-Hélène, sur l'autre rive. Cette terre natale de Georges Cadoudal était une base idéale.

Sur mes photos le texte est de Ouest-France

A suivre le long de la Ria

Bonjour à tous

Je vais vous raconter ma première grande mésaventure du samedi 18 mars

Voilà 

Le matin quand Mounette ouvre le volet roulent de la porte d'entrée elle me jette mon jouet je cours après et elle ouvre tranquillement mais ce jour-là j'ai réussi à me faufller sans qu'elle me voie. Mais il pleuvait et elle avait déjà refermé la porte alors j'ai couru sous sa voiture et le derrière dans l'eau dame il y avait une rigole oui mais moi je ne rigolais pas ...

Elle en a mis du temps avant de s'apercevoir que je n'étais pas sur l'armoire sur le buffet dans sa chambre sur un fauteuil sur le canapé sous la table. Et soudain je l'entends qui m'appelle. Ondine ondine et moi le C. dans l'eau je miaule désespérément M I A O U 

Alors elle se penche me dit "viens viens" et moi je miaule et là elle a une idée saugrenue elle change la voiture de place. Affolée je pars en courant dans la ruelle et elle me voit tourner à gauche. Et tout le samedi je l'entends m'appeler Ondine Ondine mais moi j'ai une trouille je vous dis pas et je miaule un si petit cri qu'elle ne sait pas où je suis. Elle va même jusqu'à agiter un petit bocal de croquettes.

Je saurais plus tard qu'elle a dormi dans le petit canapé mal dormi et le dimanche il ne pleut plus et je l'entend à nouveau m'appeler. Bon je fais court elle me voit dans un tout petit trou un trou de souris. Elle va chercher ses cousins. Lui est un ancien pompier mais pas besoin d'échelle je suis à ras de terre dans un mur qui donne dans une cour et la rue. Son cousin va dans la cour et me pousse pendant que ma Mounette essaie de m'attraper mais une pierre m'empêche de bouger. Alors elle enlève la pierre et me voilà dans ses bras puis à la maison. On a eu peur toutes les deux moi de ne jamais sortir de ce trou elle de ne plus me revoir ... L'après-midi elle me laisse sortir dans le jardin. Depuis je ne suis plus jamais sortie sur la place. 

Je suis coquine parfois sotte très sotte quand je saute sur sa télé pour grimper dans son petit arbre mais on s'aime bien.

Elle me laisse de plus en plus sortir dans le jardin je suis même montée sur le toit de la petite maison. 

Je connais plein de mots maintenant

Ondine : c'est moi

Mounette : c'est elle

Oui : quand elle est contente

Non : quand elle se fâche

Aïe : quand je la mords eh oui je suis une mordeuse

Viens viens : pour que je la suive

Descend : tantôt tout doux tantôt fâchée

Manger : quand elle remplit ma gamelle 

Gentil chat : quand elle me caresse

Vilain chat : quand j'ai fait une bêtise

Attention : quand elle me montre son doigt

Allez allez : pour que je file

Au coin : je suis punie

C'est bien : quand j'obéis eh oui ça arrive

Bon je vous souhaite un bon dimanche

M I A O U ... 

Le 26 mars je pars en rando oui mais où !!!

Je m'arrête à la mairie de Locoal-Mendon pour me renseigner sur les sentiers. 

Un petit circuit à Lapaul ... allons-y

Je cherche le départ indiqué de la fontaine ... pas de fontaine près de la mairie. 

Je reprend la voiture et dis à mon GPS : Lapaul

Et voilà la fontaine 

J'aime mieux vous montrer les jonquilles que le chemin. Il m'aurait fallu des échasses pour la première partie

  Le petit étang divague sur le sentier

Puis j'entre sur une partie privée. Faut-il montrer patte blanche (les miennes sont boueuses ... voir plus haut)

Et à partir de là si on ne fait pas du hors piste c'est sportif mais charmant

Je longe le Lann K'  charmante petite rivière

Je me sens en forme

Le chemin rural 

La lande

...

Je traverse le ville du Cosquer avec de chaque côté de la route des maisons avec puits

La campagne bien verte sous ciel blenc-bleu

Au pied d'un arbre

Je retrouve Lapaul fleuri et ma voiture.

Petite rando ...

A bientôt