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Je suis allée dans la forêt de Camors
Camors : la réserve naturelle d'oxygène
Terre boisée et grands espaces, ici le bois est maître et la nature à l’état brut.
Camors est une terre couverte de forêts.
Durant des siècles, elles ont nourri toute une population. Le dernier sabotier du Morbihan y a encore son atelier.
Ces forêts sont empreintes de mystères qui nourrissent les légendes et baptisent les lieux : « La vallées des korrigans ».
Elles recèlent des nombreux vestiges préhistoriques : menhir, dolmen, galerie funéraire… dressés par les populations néolithiques. Parmi ces derniers témoins de notre passé, le « menhir braz » se distingue (Grand menhir en breton). Classé Monument Historique, il est également nommé le « menhir de l’étoile ».
Cet espace naturel privilégié est un véritable paradis pour tous ceux qui recherchent le calme et l’harmonie avec la nature.
Les amateurs de loisirs nature et de sensations trouveront ici un vrai terrain de jeu à ciel ouvert.A l'étang du petit bois où les arbres ont la tête à l'envers
J'ai vu le loup le renard ...
Et bien d'autres bêtes
Quelqu'un a vu la belette ...
La lavandière a lavé ses rideaux dans le lavoir et les a rependus à la fenêtre
Un déjeuner au bord de l'étang avec Carolus mon chat
Puis j'ai continué ma balade
Viens disait la feuille au nénuphar ...
Quiberon faisait la roue
Sous le regard embrumé de l'océan dont les vagues ourlaient la plage
J'ai préféré marcher sur le sentier de la pointe du Conquel plutôt que perdre mes sous au casino ...
Dans la baie de Quiberon dansent les petits voiliers
Vers Carnac et la Trinité
Au loin Belle-Île Houat et Hoëdic
Avec le ferry de la Compagnie Océane y aller
Laisser son imaginaire fantasmer ....
Mais quel est donc ce cétacé
A bientôt
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Une route sans déroute
Avant ou après barrage et canotage
Marcher sur le sentier côtier
Mettre sa mantille
Danser sur les flots agités
Entrelacs
Embrouillamini
Calvaire et mimétisme
Chapelle privée cachée par les feuillus
Régater ou se régaler
Faire le tour du Golfe en être la vedette
Rentrer les petits catamarans au port
Domaine privé rester sur le sentier côtier
Un repos bien mérité
Dernier regard en reflet
Gagner le continent
Des photos tout en poésie ... des mots en titre .....
A bientôt
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Voyez je suis la mouette
Tournée vers l'océan
Alors que la mère à l'enfant
Attend le retour du marin inquiète
Sur le sentier côtier
La nature expose en tableau
L'ocre rouge le ciel beau
Et le tamaris décharné
...
A l'entour des maritimes pins
L'océan danse la ridée
Du Golfe agrémente l'entrée
En ruban bleu faisant écrin
La maison délaissée
Se souvient du temps ...
Où ses bassins dans le vent
Brassaient les huîtres appréciées
..
Maintenant le vent décoiffe
Le ballot de foin indiscipliné
Ou les ailes volantes de l'été
Laissant dans l'air son paraphe
Des photos quelques mots ... a bientôt
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La Ria
Voyez comme elle est belle
La rivière d’Etel
Venue de l’océan sauvage
Elle force le barrage
Comme voulut le faire Bombard
Défiant la célèbre barre
Puis tout en douceur elle investit
Les terres et les prairies
Elle s’étale
S’installe
S’apaise
Prend ses aises
Joue à cache-cache guillerette
Cherchant la petite barquette
Accueillant dans ses îlots
Une multitude d’oiseaux
Et cerise sur le gâteau
Sertie dans ses eaux
La petite maison de Saint Cado
Mille fois prise en photo
Voyez comme elle est belle
La Ria d’Etel
Quelques photos ... des mots
A bientôt
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Remonter la rivière jusqu'à sa source
ou
S'embarquetter
J'ai choisi de marcher
Le blavet
J’écoute chanter le silence
Mes pas donnent la cadence
Le tapis de feuilles atténue
Le rythme. Bruissent les feuillus
Le cri perçant d’un cormoran
Trouble l’harmonie un instant
La barque immobile se mire
Reflets de l’onde, elle s’admire
Sereine descend la rivière
Pour se jeter dans la mer
Vers Lorient et le ponant
Assister au soleil couchant
Quand du courant le dévers
En élan fait sauter la rivière
Bouillonnante elle s’amuse
Juvénile d’écluses en écluses
Les mots deviennent inutiles
Les maux semblent bien futiles
Mes pensées alors légèrement
Volent sur les ailes du vent
J’écoute du silence le chant
Au rythme de mon cœur battant
Le ciel se met en harmonie
M’ouvre son immensité d’infini
La rivière descend doucement
Plonger au cœur de l’océan
Décembre 2014
Une amie Lyonnaise vient me voir je serai absente quelques jours
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