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Les plafond en forme de bateau inversé
Pendant la guerre il manque de tout on ressort les rouets
J'aurais aimé aller sur la terrasse de la tour de la couronne d'or mais l'accès était interdit
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Je me dirige vers la gare
Et comme j'ai encore du temps
Je m'arrête au jardin des plantes où il y a de nouvelles installations
"L'arroseur"
Les oeuvres de Jean Jullien poussent au Jardin des Plantes
Pas de panneau indicateur mais un jeu avec les arbres, le gazon, l'eau... Ici les œuvres sont comme intégrées à l'univers du Jardin et semblent pousser au gré des déambulations des visiteurs du poumon vert du centre-ville, à deux pas de la gare.
Des personnages surdimensionnés aux couleurs vives. Un géant rose fait la planche sur le bassin et crache un jet d'eau, des créatures aux longs bras câlinent les arbres, un drôle de hippie traine par terre sa chevelure végétale ou encore un jardinier griffe avec son râteau l'herbe du jardin et fait apparaitre dans son sillage de jeunes arbres.
"L'idée c'est d'avoir plusieurs niveaux de lecture" confie l'artiste nantais installé à Londres de passage dans sa ville natale pour présenter ses œuvres, "quelque chose qui parle au public assez directement mais qui aussi permet ensuite de se poser un petit peu plus et d'apprécier ce qu'il y a autour".
Jean Jullien a créé ses installations à plat, en deux dimensions, afin de garder une fraicheur de trait "sortie de carnet" à ses œuvres réalisées ensuite en collaboration avec les services des espaces verts de la Ville de Nantes (le SEVE).
A l'aide des jardiniers, bien sûr, mais aussi avec le concours des ateliers de métallerie et de peinture."Le ratisseur"
« Une créature à la main métamorphosée en râteau géant griffe le vénérable tapis vert du jardin faisant naître dans son sillage de jeunes arbres… »Cette créature représente un jardinier, qui créé des sillons de terre dans lesquels poussent de jeunes bouleaux. Le bouleau étant en effet une espèce dite « pionnière », qui pousse dans les sols nus de nos régions.
Conception : d’après les dessins de Jean Jullien, fabrication de la structure métal et peinture aplat-couleur dans les ateliers du SEVE, plantations par les jardiniers du SEVE, dessin au trait par Jean Jullien."La coiffe"
« Un personnage à l’allure nonchalante laisse traîner sa longue chevelure végétale, qui n’en finit pas de pousser… »
Les canards ont passé le pont
Cet arbre aux fleurs blanches m'a interpellé
Cabrillet acuminé
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Je quitte le jardin pour me diriger vers la mezzanine de la gare de Nantes
Laisser son regard aller de l'horizon à l'infini
Et naviguer ses rêves
Mon train est annoncé
Je rentre chez moi retrouver ma Quya
Qui se jette sur la gamelle
Ben oui quoi elle est partie à 7h ce matin là. j'étais ressortie et j'ai dû l'attendre pour remanger Miaou
Bon j'ai de la réserve
J'espère moi que ces petites visites au gré du temps imparti vous aura plu.
A bientôt pour de nouvelles aventures
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Je vous retrouve avec le Grand Bi
Ou cette voiture ancêtre
Les toiles imprimées et la pacotille
Les toiles imprimées peuvent représenter à elles seules jusque 80% de la cargaison de départ d’un navire négrier.
Entre 1686 et 1757 pour ne pas nuire à la production traditionnelle de laine, de lin et de soie, cette activité lucrative ainsi que les importations sont interdites en France favorisant l’achat à l’étranger (Hollande, Angleterre et Suisse) ou encore la fabrication clandestine.La prohibition est levée en 1759 entrainant l’installation à Nantes de nombreuses manufactures de toiles imprimées. Parmi ses dernières on peut citer : Gorgerat, Petitpierre, Favre, Pelloutier, Kuster, Bourcard, Roques et Simon.
La place du port de Nantes et de l’arrière-pays nantais
Le port de Nantes connait une activité sans précédent au 18e siècle. De par son positionnement sur la façade atlantique et sa connexion par la Loire avec l’arrière-pays jusque Paris, il concentre un nombre important d’armateurs et de négociants français et étrangers.
Très impliqué dans le commerce triangulaire dès le début du 18e siècle, Nantes devient rapidement le premier port négrier de France et avec l’appui de la monarchie, l’un des principaux ports de commerce du royaume.
Cependant, le lit de la Loire en aval du fleuve devenant de moins en moins navigable pour des navires de fort tonnage, des ports comme Mindin, Paimboeuf ou encore Couëron en profitent pour devenir les ports de départ ou d’arrivées de ces imposants navires. Dans le même temps, ils augmentent les voyages en gabares à fond plat pour transporter les cargaisons de ces navires jusqu’au cœur de la ville de Nantes.
Figure de proue
Joli coffre
Petit coin d'aisance
Discrétion assurée
Je vous retrouve ici au balcon
A bientôt
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Je vous retrouve dans le dédale de ma visite du musée
Deux photos de la vidéo sur l'histoire de la Bretagne
Armoiries de Louis XIV au Château des ducs de Bretagne Nantes France
Belle cheminée avec des objets de l'époque
Sur la gauche de la cheminée
Regarder par la fenêtre d'hier, la ville d'aujourd'hui
La voute de cette haute tour
S'assoir sur un banc et rêver à la duchesse rêvant devant la fenêtre
LU, anciennement Lefèvre-Utile, est une marque française de biscuits emblématique de la ville de Nantes.
Le Petit Beurre est le produit phare de la marque LU, aux côtés du Boudoir, Champagne, Petit Four, Prince de LU, Pim's, Paille d'or, Granola, Barquette, Napolitain, etc.
L'entreprise Lefèvre-Utile a été créée en 1846 par Jean-Romain Lefèvre, originaire de Varennes-en-Argonne dans la Meuse et frère cadet des fondateurs des biscuiteries Lefèvre-Denise à Nancy et Lefèvre-George à Sedan. Elle a pris son nom complet après le mariage en 1850 de Jean-Romain Lefèvre avec Isabelle Utile. C'est au départ une pâtisserie artisanale installée 5 rue Boileau, fabriquant des biscuits « façon de Reims ».
En 1882, le fils, Louis Lefèvre-Utile, rachète la société de ses parents et décide d'industrialiser la production. Il s'installe sur les quais, au bord de la Loire.
En 1886, il crée le célèbre Petit Beurre, qui devient le produit de référence, et en 1887, il fonde la société LU avec son beau-frère Ernest Lefièvre.
Dans les années 1930, son fils, Michel Lefèvre-Utile, met en place un réseau de représentants exclusifs.
Le fils de Michel, Patrick Lefèvre-Utile, lance dans les années 1950 les lignes de fabrication en continu des différents biscuits, et crée le logo LU identifiant la marque. À partir de 1968, Patrick Lefèvre-Utile adopte une politique d'alliances pour continuer à se développer, notamment à l'international. Ce groupement d'entreprises est plusieurs fois racheté, par Générale Biscuit puis par BSN qui devient Danone. En 2007, le groupe américain Kraft Foods rachète LU au groupe Danone.
Depuis 2012, à la suite d'une scission du groupe Kraft Foods, la marque LU est la propriété de la multinationale américaine Mondelez International.
Louis Lefèvre-Utile et ses successeurs ont également prêté beaucoup d'attention à la publicité, faisant appel aux meilleurs artistes pour les affiches et le conditionnement, puis les campagnes publicitaires. Le logo LU s'est imposé pendant les Trente Glorieuses tout en s'adaptant légèrement au fil des décennies.
L'entreprise LU et ses bâtiments sont devenus emblématiques de la ville de Nantes. À partir de 1899, un ensemble architectural original a été constitué, améliorant les conditions de travail, même s'il s'est aujourd'hui rétracté avec l'automatisation et la réduction des effectifs. Une partie des anciens locaux a été transformée en centre culturel, Le Lieu unique.
Le Lieu unique est un centre de culture contemporaine labellisé scène nationale, créé à Nantes le 1er janvier 2000 et installé dans les anciens locaux de la biscuiterie LU, dont les initiales sont aussi celles du centre.
Voulez-vous me suivre avec le grand Bi
Le grand bi est un type de bicyclette qui possède une roue avant d'un très grand diamètre et une roue arrière beaucoup plus petite. L'intérêt de la grande roue avant est d'augmenter la distance parcourue pour un tour de pédale.
Alors à bientôt
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Une nouvelle escapade à Nantes le 23 juin
Je désire visiter le château
La billetterie n'est ouverte qu'à 10h et le matin est accessibles aux scolaires. Je vois des petits groupes de petits aussi je décide de reporter mon projet après-midi.
Quelques photos des remparts
"Un héron au long bec emmanché d'un long cou"
Pas contente de ma photo je ne pourrais pas la reprendre car plein de jeunes envahissent l'endroit
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Je me dirige vers mon point de rendez-vous oui car quand je vais à Nantes ce n'est pas en premier en touriste
J'ai donc des contraintes d'horaires
Là je suis en avance alors je flâne
Belle maison en façade
Eglise Saint Pasquier
L'église Saint-Pasquier de Nantes est située à Nantes dans le département de Loire-Atlantique en France. Elle est consacrée à saint Pasquier, évêque de la ville au VIIe siècle.
L’église actuelle a pour origine une simple chapelle. Construite à la fin du XIXe siècle sur les plans de l'architecte François Bougoüin élève de Viollet-le-Duc, elle est consacrée le 27 septembre 1908. Elle fait partie depuis 2014 de la paroisse des Saints Évêques de Nantes, avec l'église Saint-Félix et l'église Saint-Similien, toutes trois consacrées à un ancien évêque de la ville. Elle n'est pas classée aux monuments historiques.
On aurait pu appeler cette rue : rue des roses trémières il y en a partout
J'admire leur capacité à pousser entre les maison et le macadam
Quand on veut on peut
Je prend le temps de manger un casse-croûte
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Et me revoilà au château
Anne de Bretagne m'accueille
À la pointe de la muséographie contemporaine, jalonné de dispositifs numériques, le musée d’histoire se déploie dans 32 salles et met en scène plus de 1 150 objets de collection. La visite dresse un portrait de la ville depuis ses origines jusqu’à la métropole d’aujourd’hui.
Les sections sur la Traite atlantique et l’esclavage et sur les deux guerres mondiales constituent des références au niveau international. La visite dévoile également des éléments d’architecture remarquables et revient sur les événements marquants de l’histoire du château et de la ville : édit de Nantes, industrialisation (LU, BN), construction navale…
Je monte ce grand escalier
Le musée propose aussi un nouveau mode d’approche de l’histoire : l’histoire « globale ». À travers l’histoire globale, connectée, le public est invité à regarder le passé comme nous regardons le présent. Montrer l’histoire à l’échelle de plusieurs continents permet de ne pas s’appuyer sur des idées toutes faites, de ne pas partir d’un point de vue uniquement européen, occidental, de vainqueur ; mais bien de prendre du recul.
Vestige d'une barque
Pour cela, la création contemporaine est présente également, et notamment via le multimédia de Pierrick Sorin, qui occupe l’ensemble du volume de la 32e salle et propose sa vision de la ville.
Je ne vous montrerai pas les 1150 photos et vidéos mais des photos qui m'ont plues
Je venez avec moi ...
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Lundi j'accompagne une amie à La Trinité-sir-mer
Repas pris sur le port
Puis direction Saint-Philibert
Un banc l'océan devant nous
Aller à la Trinité-sur-MerPuis traverser le pontPas celui d'AvignonRejoindre Saint-PhilibertJuste une petite pauseS'assoir face à l’OcéanSur un banc poser son séantNoyer ses pensées morosesPlonger vers l'horizonSon regard bien au delàAu loin la presqu'île de QuiberonPuis retourner à la maison
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