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Par oceanique le 31 Mai 2018 à 03:00
Le 10 mai mon amie Dominique s'expose à l'île de Groix
Bon prétexte pour une galopade
C'est avec l'"Île de Groix" que je fais la traversée
La valise déposée un en-cas dégusté je vais à Port Lay
Le plus petit port d'Europe
A Port Lay autour des expositions
Puis comme il fait très beau je pars sur le sentier côtier
De Port Lay à la Pointe de Pen Men
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Et en face Larmor Plage à portée de la main
La côte escarpée découpée fleurie que c'est beau
Le barage de Port Melin réserve d'eau
Le barrage de Port Melin, d'une longueur de 70 mètres et haut de 18 mètres, est un barrage hydrolique du Département du Morbihan situé sur le territoire de la commune de Groix.
Le barrage de Port Melin a été construit en 1967 en travers de la rivière Port Melin retient un volume d'eau de 177 milliers de m³sur une surface de 2 hectares.
Le barrage de Port Melin, de type Poids, à pour usage principale : Alimentation en eau.Et pour descendre à la plage ce sentier raide
Petite plade de Port Melin
A Groix même les rochers sont en joie
Je vous laisse il me faut souffler un peu
A bientôt
18 commentaires -
Par oceanique le 29 Mai 2018 à 03:00
L'Hôtel-Dieu de Lyon est l'un des plus grands bâtiments de la presqu'île de Lyon. Il est construit en bordure ouest du Rhône, dans le quartier de Bellecour. Premier hôpital lyonnais (les premiers bâtiments sont attestés en 1184). En 2007, il a été décidé de transférer ses services dans d'autres établissements afin de pouvoir vendre son bâtiment et son site exceptionnels. De 2010 à 2015, le bâtiment resta désaffecté, et d'importants travaux prévus sur environ trois ans pour une utilisation hôtelière, muséale et également pour accueillir la cité de la gastronomie en 2017. L'ensemble de l’édifice a été classé monument historique par arrêté le 21 novembre 2011.
Plus grand chantier privé de réhabilitation d’Europe, l’ancien hôpital réouvre ses portes aux lyonnais et aux touristes après 4 ans de fermeture. Classé au patrimoine historique, le public peut désormais investir les cours et jardins animés par les restaurants, commerces et bureaux, écrivant ainsi une nouvelle page de l’histoire de Lyon.
Amédée Bonnet (1809-1858) est un médecin français, chirurgien de l'Hôtel-Dieu de Lyon, membre de l’Académie de médecine ; il est l’un des précurseurs de la chirurgie orthopédique.
Entre boutique et chantier
Cette chapelle, d’architecture baroque, dédiée à Notre Dame de la Pitié a été construite, attenante au cloître, entre 1637 et 1655, selon les dessins d’Anthoine May et les plans de l’architecte Guillaume Ducellet. Elle a été réalisée par les maîtres maçons Le Rupt et Chana. Située à l’emplacement de l’ancien hôpital, sa façade de style baroque, augmentée de deux élégants clochers, donne sur la place de l’hôpital. L’édifice fut construit entre 1637 et 1655. Les travaux de façade ne commencèrent qu’en 1646. Dès le début du XVIIIe siècle de nombreux travaux ont été menés par Jean Delamonce avant que celui-ci, assisté de son fils Ferdinand, établissent les dessins d’un corps de porche qui ouvre sur la place de l’hôpital, reliant ainsi tous les bâtiments. Sur l'impulsion du Pr Claude Lapras, neurochirurgien à l'Hôtel-Dieu, qui perçoit l'intérêt artistique et patrimonial de la chapelle, les Hospices Civils de Lyon décident de la restaurer. Cette restauration est la première depuis 150 ans, elle vise à supprimer d'une couche très épaisse de poussière consolidée.
L’histoire de l’hôtel Dieu de Lyon après la Révolution
A partir de 1789, période révolutionnaire, le Grand Hôtel Dieu va connaître quelques revers sévères. Un décret supprime les ordres religieux et les organisations médicales, entrainant la démission des recteurs. De nombreux dégâts ont touché l’édifice, qui au passage est pillé et mis dans une situation financière catastrophique. Cette période difficile va durer 10 ans : en mars 1797, la première commission administrative des Hospices Civils de Lyon se réunit et une nouvelle institution née de la réunion de l’Hôtel-Dieu et de la Charité voit le jour dès 1802, les Hospices Civiles de Lyon, ou HCL.
Au XIXème, L’Hôtel-Dieu sera encore agrandi et devient un haut lieu de la chirurgie, et les gros travaux se termineront en 1847.
En 1914, l’hôpital devient hôpital militaire et ce jusqu’en 1923. L’histoire de l’hôtel Dieu de Lyon s’est aussi faite avec la grande histoire de France, la qualité des personnels permettant de prodiguer des soins reconnus.
En 1934 il est inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques ce qui permit la conservation en l’état de ce joyau.
Le grand dôme fut détruit par le feu en 1944 juste à la Libération. La reconstruction du dôme ne se fera qu’en 1957, selon les plans initiaux de Soufflot légèrement modifiés dans sa composante par ses élèves. Cette reconstruction sera la dernière opération d’envergure jusqu’à la reconversion du site.
On pénètre dans ce cloître par la place de l’hôpital. Son portail dorique précède une coupole sur pendentifs qui a été exécutée par l’architecte Jean Delamonce et son fils Ferdinand au début du XIXe siècle. Un bas-relief en bois, situé au tympan, est du sculpteur Simon Guillaume. Dans les galeries voutées d’arêtes, on peut consulter les noms des généreux donateurs de l’hôpital inscrits sur des plaques de marbre. Ce bâtiment, construit entre 1633 et 1636 s’appuie sur le seul mur restant de la période médiévale.
LE « PETIT DÔME »
Ce premier dôme à pans a été érigé par le maître maçon Jacques Blanc. Il a une hauteur de 26 m, et une forme carrée de 11 m de côté. L’autel, au centre, où étaient célébrées les messes pour les malades, est en marbre polychrome. Dans la galerie du rez-de-chaussée, deux tombes ont été réinstallées après avoir été retrouvées dans la cour de l’ancienne pharmacie, autrefois cimetière de juifs et de protestants. Il s’agit de pierres tombales de deux jeunes filles anglaises dont l’une, Elisabeth Temple, était la fille du poète anglais Arthur Young.
Photo prise lors de l'exposition des 111 des arts en 2010
Photo prise en 2010 lors du vernissage de l'exposition des 111 des arts de Lyon dans la grande salle du Dôme de l'Hôtel-Dieu
Cette affiche est d'autant plus émouvante pour moi que c'est à cette occasion que j'ai rencontré Monelle l'année précédente (11-2008)
J'aurais une veste blanche ... (Monelle) J'aurais une veste noie (Mounette)
C'est grâce à Raymonde que nous avons fait connaissance. Elles étaient toutes les deux sur les "Amicaliens"
Lors des fêtes des Lumières le 6 décembre 2009
8 décembre 2011
A bientôt en Bretagne
19 commentaires -
Par oceanique le 25 Mai 2018 à 03:00
Ce lundi 30 avril je suis à Lyon sur les quais de Saône
Fleuris
Passerelle Masarick
Je t'ai vu clocher vernissé de l'église Saint Pierre de Vaise
La Saône et Caluire en face
Le pont schuman depuis le quai
Alors je le traverse
Direction le 1er arrondissement
Salle Rameau qui en a vu bien des spectacles
Après la fermeture pour raison de sécurité de la salle philharmonique du quai Saint-Antoine, Georges Martin Witkowski souhaite que soit réalisée une nouvelle salle de concert pour y accueillir la Société musicale qu’il a créée (actuel Orchestre national de Lyon). La ville de Lyon possède la parcelle située entre la rue Hippolyte Flandrin et la rue Louis Vitet ; un arrangement habile entre la ville et la compagnie immobilière du 1er arrondissement est adopté par le Conseil Municipal le 25 février 1907. Il prévoit que la ville cède à la compagnie le terrain utile à la construction mais qu'elle devienne propriétaire du nouvel édifice. Pour compenser les coûts de construction et d'installation, la compagnie obtient pour 60 ans la gérance de la salle.
Au printemps 1907, Armand Fallières, président de la République, et Georges Clemenceau, président du Conseil, sont à Lyon pour poser la première pierre de la nouvelle salle de concert. La compagnie immobilière du 1er arrondissement est dirigée par l’architecte lyonnais François Clermont qui, déjà assisté d'Eugène Ribout, a construit 25 immeubles le long des rues de la Martinière, Thimonnier et Louis Vitet. Ils vont donc construire, en à peine plus d’un an, dans le style « Art nouveau » qui leur est cher, la salle de concert qui à l’époque est d’une capacité de 1 535 places assises. Aujourd’hui, selon la configuration, elle ne peut plus accueillir que 670 à 865 spectateurs.
Le 8 novembre 1908, l’orchestre de la Société des grands concerts de Lyon, constitué de plus de 200 musiciens, inaugure la salle avec l’air des Fêtes d’Hébé, de Jean-Philippe Rameau, et de la Neuvième Symphonie, de Ludwig van Beethoven. La salle Rameau est l’une des premières salles spécifiquement dédiées à la musique symphonique construites en France.
Lycée La Martinière
Né à Lyon en 1735 dans le quartier des Terreaux, d’une famille de tonnelier, Claude Marin s’engage à 16 ans dans les troupes de la Compagnie Française des Indes Orientales. Il rejoint Pondichéry comme simple soldat. Après la défaite des Français à Pondichéry et le traité de Paris en 1763, la Compagnie Française des Indes ne tarde pas à faire faillite. Claude Martin se met au service des troupes anglaises puis se lance dans les affaires avec une grande réussite. Il sera tour à tour conseiller financier et politique tant des anglais que des nababs, industriel, commerçant, banquier, promoteur immobilier, militaire, terminant sa carrière avec le grade de Major Général.
Il meurt en Inde le 13 septembre 1800, à la tête d’une immense fortune. Il est enterré en Inde mais lègue par testament la quasi-totalité de sa fortune à la ville de Lyon, à charge pour elle de faire «établir une école pour instruire un certain nombre de garçons et filles». L’institution devra porter le nom de «la Martinière».Sur les pentes de la Croix-Rousse l'église du Bon Pasteur
L'église du Bon-Pasteur est une église désaffectée située à Lyon, rue Neyret sur les pentes de la Croix-Rousse, près de la montée de la Grande Côte. Elle dédiée au Bon Pasteur, figure allégorique de Jésus, dans l'Évangile de saint Jean et l'Évangile de saint Luc. Elle est caractérisée par sa porte inaccessible.
Pour continuer à monter il faut
Avoir un bon coeur mais aussi du souffle
Les nuages noircissant me tomberont sur la tête alors que je cherche un endroit pour déjeuner
J'avais heureusement un parapluie breton qui ne se retournera pas sous la bouresque
Depuis l'esplanede de la Montée de la Grande côte vue sur les monts du Lyonnais à l'horizon
Mur peint à la croix-rousse
J'ai beaucoup aimé ce petit texte au bas du mur peint
Je vous mènerais plus tard à l'Hôtel Dieu ...
A bientôt
16 commentaires -
Par oceanique le 23 Mai 2018 à 03:00
Vous vous souvenez après la trempette les 3 paire de pieds ont repris la voiture ...
Le tumulus du Mané-Lud (ou dolmen de Mane-Lud) est un mégalithe datant du Néolithique, situé sur la commune de Locmariaquer, dans le golfe du Morbihan.
Le monument se présente comme un dolmen à couloirgrossièrement orienté nord-sud le couloir mesurant environ 5 m de longueur.
La chambre funéraire, mesurant environ 4 × 3 m, est recouverte d'une dalle d'environ 8,5 m et
son sol est formé d'une stèle qui devait originellement se trouver à l'extérieur de l'édifice. 29 orthostates et 5 dalles de couverture composent le monument. Nombre de ces pierres sont gravées : barque, haches, crosses, oiseauxdécorent ainsi le monument.
Un tertre de forme ovale d'environ 80 m de long recouvre l'ensemble. 6 petits menhirs alignés en arc de cercle au sud-ouest ainsi que des coffres, maintenant disparus, en font partieUn escalier contemporain permet de rejoindre le dolmen au sein de son tumulus.
Regarder aussi la nature du jour du enfleurit
Mais pour tout dire ce n'est pas ce dolmen là que mes cousins voulaient me montrer alors la découverte continue. Elle sera ardue mais bretons persistants arribent à leur fin et nous voilà ...
Ce tumulus fait partie des trois plus beaux spécimens de ce genre de construction, au même titre que celui de Saint-Michel à Carnac et de Tumiac. Il mesure 10 m de haut, 100 m en base sur 60 m. A l’intérieur plusieurs objets en jaspe, en callaïs, en bronze, en agate et 101 haches ou celtae en trémolite et en jade. Tous ces objets sont au musée de Vannes. Une autre découverte importante : une pierre gravée à l’entrée de la chambre. Elle est visible au musée mégalithique à Locmariaquer et un fac-similé se trouve à l’office de tourisme.
Quitter la lumière pour entrer dans le ventre de la terre ...
Mon cousin prévoyant avait pis une lampe éléctrique
Sortir du ventre de la terre et revenir à la lumière
...
...
En sortant dans un petit bois ce korrigan nous attendant mais bien pacifiquement
A bientôt
20 commentaires -
Par oceanique le 18 Mai 2018 à 03:00
19 avril il fait très chaud . Grandes marées et l'océan partit au loin
Fait des stries sur le sable
Retour de pèche
...
Harmonie entre les fleurettes et les bateaux
"En jaune et blanc"
Trempète et même baignade ... brrrrrrrrrr
Plaisir de trempage
Même les algues le font savoir
Giroflées en muret
J'aime les arbres aux fleurs bleues car elles sont rares
Se chauffant au soleil monsieur lézarde
Pendant que les nuages mousseline nous le font à ....
Au loin les Pyrénnées !!! vous y croyez vous
Les 3 paires de pieds reprennent la voiture
Pour une autre aventure
Mais pour plus tard
20 commentaires
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