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Par oceanique le 18 Novembre 2018 à 03:00
Retrouvons Tara
Je suis tout près sur le ponton où il est amarré
(Je n'aurais pas du y être car la visite de Tara est réservée aux familles mais le filtrage ne s'est pas fait et je ne suis pas la seule à être passée par contre nous ne pourrons pas monter sur Tara)
Sur le podium les édiles les scientifiques et l'équipage je ne vous donnerais pas les noms
Mais c'est du beau monde ... responsable du CNRS etc
Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'innovation
Un concours avait été lancé dans les écoles et c'est cette petite fille de Toulouse qui a réalisé la bannière de Tara. Vous pouvez la voir au milieu des pavillons
Agnés B sponsor de Tara
L'équipage
Ce misicien qui donnera un concert après étais en résidence sur Tara
Avec l'accord des parents je fais un cliché de la petite gagnante et de sa bannière le vent souffle pas facile
Avant de prendre la passerelle vous savez !!! je capte la lumière sur Tara
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Une petite heure de concert
Les oiseaux volètent devant Gitana 17
Belle lumière du soir
C'est sur cette image que je quitte la cité de la voile pour rentrer avant la nuit
Hier nous étions en mode je ne fais rien qui nuise à la planète et voilà comment Tara me vole la vedette
A bientôt
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Par oceanique le 15 Novembre 2018 à 03:00
C’est à Lorient que Tara fait escale pour être entretenu.
Depuis plus de 10 ans, Lorient Agglomération soutient les expéditions scientifiques de Tara et de ses équipes de chercheurs pour comprendre, étudier et préserver les océans, véritables poumons bleus de la planète. Au fil des expéditions, la ferveur du public s’est affirmée : à chaque départ et à chaque retour de la goélette, ils sont de plus en plus nombreux à terre comme en mer pour accompagner Tara. Chaque expédition est l’occasion d’une grande fête populaire et de vulgarisation scientifique à Lorient. Un partenariat qui se traduit par les animations proposées aux écoles et à la Cité de la Voile Eric Tabarly, par des expositions régulières sur le territoire, mais aussi par la présence du logo de Lorient Agglomération sur les documents de communication de Tara Expéditions et par un pavillon sur une des drisses du bateau. Enfin, entre deux missions, c’est à Lorient que le navire est entretenu, profitant du savoir-faire des nombreuses entreprises locales liées au nautisme.
Une histoire née à Groix
L’histoire entre Tara et Lorient a débuté à Groix, lors du festival international du film insulaire qui accueillait l’équipage du voilier. Entre le territoire, fortement maritime, concentrant de nombreux savoir-faire techniques et scientifiques liés à la mer, à la pêche et à la course au large, et l’équipe de Tara, l’évidence s’est imposée. C’est donc à Lorient que le bateau a été préparé en vue de sa première expédition polaire baptisée « Tara Arctic 2007-2008 ».
Comme je ne peux pas être à Groix je choisis d'attendre Tara à Lorient
Je suis à la cité de la voile
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Photo de Hélène Durand-Gallet photographe de Groix
J'ai encore un peu de temps avant l'arrivée de Tara qui vient de Groix entouré d'une armada
Gitana 17, également appelé Maxi Edmond de Rothschild, est un maxi-trimaran équipé de foils lancé en 2017. Conçu par l'architecte Guillaume Verdier, il est consacré à la course au large et la chasse aux records. Il est skippé par le navigateur français Sébastien Josse.
Il était au départ de la Route du Rhum mais malheureusement Il y a 6 jours - Il cavalait en tête quand à 5 h 30, ce lundi, Sébastien Josse a prévenu son team manager d'une avarie majeure à bord du « Edmond de ...Rotschild ». Le solitaire a subi un arrêt brutal et réalisé qu’une partie de son flotteur tribord ‘(10 m à peu près) était arrachée.
© Le TélégrammeLe ciel torturé donne une belle lumière
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Le ponton avec réception attend Tara
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Et le voilà avec tout son équipage et le staff de scientifique
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Si une dizaine de voiliers a accompagné Tara seuls les canots de secours ont pu entrer avec lui
Un petit tour dans le port en attendant la réception de l'équipe de Tara
A bientôt
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Par oceanique le 13 Novembre 2018 à 03:00
Le château de Suscinio, construit à la fin du Moyen Âge, résidence des ducs de Bretagne, est situé au bord de Mor braz dans la commune de Sarzeau. Le château est classé monument historique en 1840, alors qu'il était en ruines
Conçu comme le centre de la gestion d'un domaine agricole, entre une forêt giboyeuse et le bord de mer, le château est fortifié progressivement.
Le premier logis, un manoir pour la chasse, est bâti pour le duc de Bretagne Pierre de Dreux, en 1218, entre des étangs d'eau douce au nord, des marais de Suscinio et des étiers au sud.
En 1229, son fils, Jean Ier le Roux poursuit la construction du château, et fait clôturer une bonne partie de la forêt de Rhuys qui deviendra parc de chasse. L'extension du domaine et du château entrainera petit à petit la disparition du Prieuré de Saint-Pabu et la fondation de l'Abbaye de Prières, situé non loin de là à titre de pénitence.
Le duc Jean IV de Bretagne met le château à la disposition des Anglais, ses alliés. La forteresse, commandée depuis 1365 par un capitaine anglais, est reconquise pour la couronne de France par Bertrand du Guesclin en 1373. Le connétable fait démanteler tours, courtines et logis. Les ducs Jean IV et Jean V entreprennent des travaux de consolidation, d'agrandissement (construction du logis est après 1380 et du logis ouest vers 1430) et la construction d'une nouvelle tour. Au xve siècle une casemate est aménagée pour abriter des pièces d'artillerie tandis que de grandes fenêtres sont percées dans les murs extérieurs, les progrès de l'artillerie et un climat politique plus serein faisant balancer entre les soucis de la défense et un désir plus grand de confort, d'air et de lumière. Ensuite le château est progressivement délaissé, les ducs de Bretagne privilégiant leur château de Nantes. Il devient en 1520 propriété de la couronne de France sous François Ier qui le confie en usufruit avec les terres alentour à de hauts personnages de la Cour, notamment une de ses maîtresses, qui perçoivent les revenus du domaine.
En 1798, le château — déjà très dégradé — est vendu pour cinq mille francs comme bien national à un marchand forain de Lorient qui l'exploite comme carrière de pierres à bâtir et bazarde les sculptures.
Acheté en 1852 par le vicomte Jules de Francheville, sa famille fait tout son possible pour sauver l'existant jusqu'au rachat en 1965 par le Conseil départemental du Morbihan, à l'initiative de son président Raymond Marcellin, conseiller général de Sarzeau, qui entreprend sa restauration.
En 1975, on découvre à proximité, la chapelle du prieuré, incendiée en 1370, qui possède un pavement remarquable, d'environ 300 m2. Celui-ci est étudié, restauré et exposé dans une salle du château.
Inscrit depuis 1990 sur la liste des établissements contrôlés par la Direction des Musées de France, le musée du château de Suscinio s'enrichit depuis plusieurs années de nouvelles collections. Au début du xxie siècle, le château, désormais ouvert toute l'année à la visite, a retrouvé sa forme de forteresse médiévale intacte, même si les travaux de restauration continuent.
Depuis 2013, un programme de recherche archéologique est mené au château. Les fouilles ont notamment permis de révéler l’organisation interne du rez-de-chaussée d’un grand logis au niveau de la courtine nord, avec ses cuisines et son espace de stockage. Les niveaux archéologiques rencontrés dans la cour (aire de gâchage, foyers, aire de débitage, dépotoirs) renvoient à un chantier de construction qu’il est tentant de rattacher aux grands travaux commandés par Jean II, duc de Bretagne de 1286 à 1305.
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Le Pigeonnier ou "fuye" : à l’extérieur du château, près de l’ancienne chapelle, se tient un bâtiment circulaire. Il s’agit d’un ancien pigeonnier qui servait à élever des pigeons domestiques, un mets très apprécié au Moyen-âge. Au XVIe siècle, certains officiers sont rémunérés avec de la soupe de pigeons.
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L’entrée du château : à Suscinio, l’imposante entrée, est constituée d’un grand logis-résidentiel encadré par deux grandes tours : la Tour des Salines à gauche et la Tour Saint-Nicolas, à droite, marque la puissance du duc de Bretagne.
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Je n'ai pas encore visité l'intérieur ce sera pour une autre fois puisqu'il se visite toute l'année
L'etang et la forêt
Et en reprenant la voiture une belle flamboyance d'automne
A bientôt pour de nouvelles aventures
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Par oceanique le 9 Novembre 2018 à 03:00Grand Mont Saint Gildas de Rhuys
Face à l'océan, on rencontre une côte rocheuse coupée de criques (depuis la plage des Govelins jusqu'à la pointe St Jacques) qui aboutit à la pointe du Grand Mont (point culminant).
Le GR34 offre des points de vue remarquables sur les îles d'Houat, Hoëdic, Belle-Île-en-Mer et sur la presqu'île de Quiberon. La continuité de ce sentier de Grande Randonnée permet également de découvrir le littoral et les plages de Sarzeau à l'est, vers St Jacques et Suscinio et à l'ouest vers Arzon, Port-Crouesty et Port-Navalo. Au nord, le sentier longe le golfe du Morbihan et on découvre d'autres paysages avec de nombreuses petites baies découpées, vasières et herbiers et des vues magnifiques sur les îles et îlots du golfe du Morbihan.
Depuis le sentier côtier Nous longeons ces superbes falaises
Les petits bateaux le soleil la côte
Belle falaise
Descendre juste un peu pour voir mieux la pointe
Plongée du soleil dans l'océan
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Penvins - Sarzeau
Cette longue plage familiale surplombée par la chapelle Notre Dame de la Côte est l'une des plages les plus animées. En effet, c'est un spot exceptionnel...
Joli cheval qui plus tard ira tremper ses jambes
La Chapelle Notre Dame de la Côte, se situerait sur l'emplacement d'un site gallo-romain sur lequel aurait été érigé un petit sanctuaire. Sa disposition en croix grecque lui permet de mieux résister aux vents violents venus de la mer. L'édifice actuel fut reconstruit sur les ruines de deux chapelles successives, grâce à la générosité de la famille de Francheville. Lors de la deuxième guerre mondiale, l'édifice frôla la destruction. En effet, toutes les constructions susceptibles de servir de points de repère pour la navigation devaient être démolies. La chapelle devait subir le même sort que le poste de douane et les villas du XIXème. Cependant, grâce à l'acharnement de l'abbé Buquen, vicaire de Penvins, la chapelle fut sauvée.
Situé au sud-est de la commune, sur le littoral sud de la presqu'île de Rhuys, Penvins est composé de deux petits centres anciens : Penvins proprement dit et La Grée-Penvins, à l'entrée de la pointe de Penvins. Ces deux noyaux d'origine sont aujourd'hui au cœur d'une agglomération résidentielle (essentiellement de villégiature) qui s'étend sur 2 km du nord au sud et sur 1,2 km d'est en ouest. Le village est distant d'environ 7,5 km du bourg de Sarzeau.
La pointe de Penvins partage la côte en deux plages sableuses : la plage de Landrezac (ou grande plage de Penvins) et la petite plage de Penvins.
Un endroit idylique découvert par une belle journée ensoleillée
Je vous invite à me suibre pour la vie de Château
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Par oceanique le 7 Novembre 2018 à 03:00
Port-Navalo est un ancien port de pêche côtière datant du début du XXᵉ siècle. Il est situé sur la commune d'Arzon, dans le département du Morbihan en Bretagne.
Locmariaquer et Port Navalo se font face pour fermer ou ouvrir le Golfe du Morbihan
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Au zoom la plage de Kerpenhir à Locmariaquer
Le rocher de la Teignouse
Migmatites de Port Navalo
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Port Crouesty
Le port du Crouesty est un port de plaisance créé en 1973 sur l'emplacement d'une zone marécageuse située à l'entrée du golfe du Morbihan sur le territoire de la commune d'Arzon.
Phare
La SNSM entre dans le port
Les feux du port
Notre-Dame de Croisty
La première fondation de la chapelle Notre Dame du Croisty remonte à l'époque de Saint Gildas. C'est ici que le 11 mai 565, jour des Rogations, l'on trouva le corps intact de Saint Gildas dans une barque échouée sur les rochers. Les bateaux mouillés à l'entrée du port y sont bénis puis vont déposer une couronne de fleurs en mer.
La première fondation de la chapelle Notre Dame du Croisty remonte à l'époque de Saint Gildas. C'est ici que le 11 mai 565, jour des Rogations, l'on trouva le corps intact de Saint Gildas dans une barque échouée sur les rochers. Le corps du saint décédé le 29 janvier avait été abandonné au gré des flots depuis trois mois, conformément à sa volonté. Le corps du Bienheureux Père fut alors transporté à l'abbaye qu'il avait fondée, où il fut inhumé. Depuis lors, les moines de Rhuys venaient ici en procession, chaque année, au premier jour des Rogations. La chapelle, construite à l'origine trop près de la côte, s'est écroulée plusieurs fois avant d'être rebâtie en 1826 en retrait de la côte. Elle se revisite en été tous les jours de 17h à 19h. Chaque année, le 15 août, une messe y est dite en mémoire des marins disparus en mer. Les bateaux mouillés à l'entrée du port y sont bénis puis vont déposer une couronne de fleurs en mer.
Le calvaire entre deux feux
Beaux reflet
Je vous retrouve pour la suite ...
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