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Par oceanique le 8 Janvier 2018 à 03:00
Photo Petitalan
Jeux de rôle
Non ! non ! non ! ne filmez pas … pas de photo
Je suis agent secret et discret coco et micro
Employé envoyé dépêché par la chancellerie
Pour espionner surveiller les mangeurs de riz
Détours contours je vais je viens mine de rien
Picore de ci picote de là les miettes de pain
Mais de leurs gestes ne manque guère
Comme un véritable baroudeur reporter
Allo passez-moi monsieur l’ambassadeur
Je crains que nous ne soyons sur l’heure
Démasquées repérées suivies par un espion
Le plus étonnant … il a une tête de pigeon
Allo allo la chancellerie ici l’agent Coco
Mission accomplie je vous fais un topo
C’est crypté et pour moi c’est du chinois
C’est du Japonais espèce d’idiot … d’oie
Pigeon voyageur mon colonel
Et je me tire à tire-d’aile
Il s’enfuit dois-je dégainer
Sur un pigeon vous plaisantez
Quand un oiseau crée un incident diplomatique
Quand sous un parapluie papotent des asiatiques
Quand délire Océanique
Jeu drôle !!!
Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés
Petitalan
http://petitalanplus.apln-blog.fr/
Alain Gautron
(Article programmé)
Je suis à Lyon pour accompagner mon amie avec tous ceux qui l'aimaient en pensées ou en présence
Merci de votre présence chaleureuse
14 commentaires -
Par oceanique le 18 Décembre 2017 à 03:00
Photo Petitalan
Différence … indifférence
Le long de la rivière comme à son habitude
Le héron cheminait en toute solitude
Il aimait ce moment privilégié où l’onde
Est à lui poissonneuse et peu profonde
Comme chaque jour il arriva un beau matin
Sur ces pattes grêles joyeusement l’air serein
Mais quelle ne fut pas alors sa stupeur
Une horde de cigognes lui fit monter fureur
Déjeunaient sans complexe sur son terrain de chasse
De leur long bec orangé montées sur des échasses
Elles le dominaient le montrant tout gracile
Le regard dédaigneux pour cet oiseau fragile
Il décida alors en toute indifférence
D’un claquement de bec montrer sa différence
Dans un bruissement d’ailes la horde s’élança
Vers d’autres horizons. Il en resta baba …
Au moins se dit-il elles ne se sont pas incrustées
Et reprit tranquillement la fin de son dîner
Avant que pies corbeaux et autres jacasseurs
Ne viennent troubler et mettre un terme à son bonheur
Les humains vous diront on ne mélange pas les torchons et les serviettes.
Pourtant chacun ici-bas a un rôle à jouer ; fût-il le fou le roi ou la girouette
Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés
Petitalan
http://petitalanplus.apln-blog.fr/
Alain Gautron
Je suis en ce moment au jour le jour
(Article programmé)
Merci de votre présence chaleureuse
17 commentaires -
Par oceanique le 27 Novembre 2017 à 03:00
Photo de Petitalan
Glups !!!
Narcisse le héron dans la rivière se mirait
Son alter-égo
En miroir de ses pattes grêles le soutenait
Comme il se trouvait beau
Puis la faim l’estomac lui titilla
Adieu alter-égo
Sur la berge fleurie il se précipita
Au milieu des roseaux
De sa démarche dégingandée
Snobant son alter-égo
Un brochet il faillit dédaigner
Alors il pensa à l’escargot
Cette fable se raconte aux veillées
Quand dort son alter-égo
Un ancêtre fût de La Fontaine la risée
Ainsi que du loup et du corbeau
Le brochet à trop attendre se sauva
Pouffe l’alter-égo
Le limaçon à sa mémoire s’imposa
Son estomac jouait au yoyo
Quand pour son dîner seul un goujon
Rassura l’alter-égo
C’était mieux qu’un colimaçon
Sur l’onde claire pécha l’oiseau
Narcisse le héron dans la rivière se mirait
Son alter-égo
En miroir de ses pattes grêles le soutenait
Chacun avalant son poisson d’eau
Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés
Petitalan
http://petitalanplus.apln-blog.fr/
Alain Gautron
Je viens vous voir puis ...
Je met mon blog sur pause
Je vais jouer dans une pièce de théatre
où je serais le personnage principal
"La pirate du golfe perse ... hic"
A bientôt
28 commentaires -
Par oceanique le 6 Novembre 2017 à 03:00
Equipage improbable ... ?
Une grenouille en détresse
Emportée par le courant
D’une rivière inondant
Le jardin de la comtesse.
Loin du bassin d’ornement
Lorsque la crue eut décrue
Ell se trouva fort dépourvue
De se retrouver plein champ
Elle commençait à perdre force
A force de croasser à tue-tête
Vas-tu bien te taire sale bête
Criait un voisin d’une voix féroce
Aboyant les chiens faisaient vacarme
Les chasseurs aiguisaient leur fusil
Tout hébété par leur insomnie
Mais la grenouille point ne désarme
C’est alors que passant par là
D’un pas lent vint un escargot
Qui lui dit monte sur mon dos
Accroche-toi je vais te tirer de là
C’est ainsi que le soir la lune
Vit ébahie un drôle d’équipage
Aussitôt cessa tout tapage
Rien dans la nuit qui importune
La grenouille épuisée mais ravie
D’un baiser fort chaleureux
Remercia émue le baveux
Qui je crains ne s’en est pas remis
Depuis le soir dans les chaumières
Racontent aux enfants les grand’mères
L’histoire d’un bassin et d’une rivière …
Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés
Petitalan
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Alain Gautron
22 commentaires -
Par oceanique le 16 Octobre 2017 à 03:00
Photo Petitalan
A la chasse …
Vous vous souvenez de mes copains en Corse abandonnés quelques heures par leur maître.
Petitalan a dit que ces deux associés avaient été bien sages dans leur écrit, alors nous avons voulu les venger.
Partis à la chasse avec lui et une bande de traqueurs, j’ai emprunté le GPS que je porte en collier. Connecté à une montre nous avons la maîtrise du parcours. Sagement nous sommes allés en avant. Dès qu’un lièvre a pointé son nez nous lui avons dit
- Tranquille … file vite par la droite
Comme une meute bien dressée nous nous sommes engagés à gauche en aboyant joyeusement. Et les voilà qui nous emboîtent le pas … de course. Arrivés sur ce petit sentier un filin leur a barré la route.
Le premier (Petitalan mon maître) emporté par son élan s’est pris les pieds dans l’obstacle. Dans sa chute, son fusil armé … le coup est parti … il a tué le lièvre qui curieux nous avait suivi. Le deuxième qui collait de près a tiré en l’air, un écureuil qui rangeait ses provisions ramenées du market-noisette s’est pris du plomb dans l’arrière train et a filé dare-dare (c’est un fusil pas une guêpe) abandonnant ses emplettes. Le troisième a maîtrisé sa course. Le voilà qui caracole sur nos traces. Et nous qui jappons (mais non pas à Tokyo) allègrement. Le quatrième et dernier a voulu contourner l’obstacle et se retrouve face au troisième qui ayant entendu les feuillages bruisser allait épauler. Heureusement il garde son sang-froid (comme celui du lièvre) et abaisse son engin (s'il vous plait pas de pensées déplacées).
Quant à nous … nous cavalons cavalons cavalons comme des fous. Les bois ont fait place aux prés puis à la route. Je pile sec avant qu’une voiture qui tournait ne nous emplafonne. Qu’elle freine des 4 sabots et qu’un … qui … furibard siffle rageusement et crie … hurle la face congestionnée
- Aux pieds les clébards
C’est rampant que nous nous exécutons puis relevons le museau les yeux pleins d’amour.
Zut alors … chiens nous sommes chiens nous restons et restons à notre place. Mais nous nous sommes bien amusés.
C’est fièrement que Petitalan et son équipe ne rentrent pas bredouille. Les oreilles du lièvre pointent de la gibecière. (La curiosité est un vilain défaut)
Dans les bois un écureuil panse ses blessures. (Un jour au mauvais endroit)
Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés
Petitalan
http://petitalanplus.apln-blog.fr/
Alain Gautron
Je n'y suis pour rien Petitalan c'est ta meute ....
20 commentaires
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