•  le héron et les cigognes (A & A et Cie n° 61)

    Photo Petitalan 

      Jeux de rôle

    Non ! non ! non ! ne filmez pas … pas de photo

    Je suis agent secret et discret coco et micro

    Employé envoyé dépêché par la chancellerie

    Pour espionner surveiller les mangeurs de riz

     

    Détours contours je vais je viens mine de rien

    Picore de ci picote de là les miettes de pain

    Mais de leurs gestes ne manque guère

    Comme un véritable baroudeur reporter

     

    Allo passez-moi monsieur l’ambassadeur

    Je crains que nous ne soyons sur l’heure

    Démasquées repérées suivies par un espion

    Le plus étonnant … il a une tête de pigeon

     

    Allo allo la chancellerie ici l’agent Coco

    Mission accomplie je vous fais un topo

    C’est crypté et pour moi c’est du chinois

    C’est du Japonais espèce d’idiot … d’oie

     

    Pigeon voyageur mon colonel

    Et je me tire à tire-d’aile

     

    Il s’enfuit dois-je dégainer

    Sur un pigeon vous plaisantez

     

    Quand un oiseau crée un incident diplomatique

    Quand sous un parapluie papotent des asiatiques

    Quand délire Océanique

    Jeu drôle !!!

     

    Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés

    Petitalan

    http://petitalanplus.apln-blog.fr/

    Alain Gautron

    http://alain.apln-blog.fr/

     

    (Article programmé)

    Je suis à Lyon pour accompagner mon amie avec tous ceux qui l'aimaient en pensées ou en présence

    Merci de votre présence chaleureuse 


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  •   le héron et les cigognes (A & A et Cie n° 61)

    Photo Petitalan

    Différence … indifférence

     

    Le long de la rivière comme à son habitude

    Le héron cheminait en toute solitude

    Il aimait ce moment privilégié où l’onde

    Est à lui poissonneuse et peu profonde

     

    Comme chaque jour il arriva un beau matin

    Sur ces pattes grêles joyeusement l’air serein

    Mais quelle ne fut pas alors sa stupeur

    Une horde de cigognes lui fit monter fureur

     

    Déjeunaient sans complexe sur son terrain de chasse

    De leur long bec orangé montées sur des échasses

    Elles le dominaient le montrant tout gracile

    Le regard dédaigneux pour cet oiseau fragile

     

    Il décida alors en toute indifférence

    D’un claquement de bec montrer sa différence

    Dans un bruissement d’ailes la horde s’élança

    Vers d’autres horizons. Il en resta baba …

     

    Au moins se dit-il elles ne se sont pas incrustées

    Et reprit tranquillement la fin de son dîner

    Avant que pies corbeaux et autres jacasseurs

    Ne viennent troubler et mettre un terme à son bonheur

     

    Les humains vous diront on ne mélange pas les torchons et les serviettes.

    Pourtant chacun ici-bas a un rôle à jouer  ; fût-il le fou le roi ou la girouette

     

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    Je suis en ce moment au jour le jour

    (Article programmé)

    Merci de votre présence chaleureuse

     


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  •  le héron qui avale un poisson (A & A et Cie n° 60)

    Photo de Petitalan

    Glups !!!

     

    Narcisse le héron dans la rivière se mirait

    Son alter-égo

    En miroir de ses pattes grêles le soutenait

    Comme il se trouvait beau

     

    Puis la faim l’estomac lui titilla

    Adieu alter-égo

    Sur la berge fleurie il se précipita

    Au milieu des roseaux

     

    De sa démarche dégingandée

    Snobant son alter-égo

    Un brochet il faillit dédaigner

    Alors il pensa à l’escargot

     

    Cette fable se raconte aux veillées

    Quand dort son alter-égo

    Un ancêtre fût de La Fontaine la risée

    Ainsi que du loup et du corbeau

     

    Le brochet à trop attendre se sauva

    Pouffe l’alter-égo

    Le limaçon à sa mémoire s’imposa

    Son estomac jouait au yoyo

     

    Quand pour son dîner seul un goujon

    Rassura l’alter-égo

    C’était mieux qu’un colimaçon

    Sur l’onde claire pécha l’oiseau

     

    Narcisse le héron dans la rivière se mirait

    Son alter-égo

    En miroir de ses pattes grêles le soutenait

    Chacun avalant son poisson d’eau

     

      

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     Je viens vous voir puis ...

    Je met mon blog sur pause

    Je vais jouer dans une pièce de théatre  

    où je serais le personnage principal 

    "La pirate du golfe perse ... hic" 

    A bientôt


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  •  

    Equipage improbable ... ? 

     

    Une grenouille en détresse

    Emportée par le courant

    D’une rivière inondant

    Le jardin de la comtesse.

     

    Loin du bassin d’ornement

    Lorsque la crue eut décrue

    Ell se trouva fort dépourvue

    De se retrouver plein champ

     

    Elle commençait à perdre force

    A force de croasser à tue-tête

    Vas-tu bien te taire sale bête

    Criait un voisin d’une voix féroce

     

    Aboyant les chiens faisaient vacarme

    Les chasseurs aiguisaient leur fusil

    Tout hébété par leur insomnie

    Mais la grenouille point ne désarme

     

    C’est alors que passant par là

    D’un pas lent vint un escargot

    Qui lui dit monte sur mon dos

    Accroche-toi je vais te tirer de là

     

    C’est ainsi que le soir la lune

    Vit ébahie un drôle d’équipage

    Aussitôt cessa tout tapage

    Rien dans la nuit qui importune

     

    La grenouille épuisée mais ravie

    D’un baiser fort chaleureux

    Remercia émue le baveux

    Qui je crains ne s’en est pas remis

     

    Depuis le soir dans les chaumières

    Racontent aux enfants les grand’mères

    L’histoire d’un bassin et d’une rivière …

     

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  • La meute (A & A et Cie n° 58)

    Photo Petitalan

     A la chasse … 

    Vous vous souvenez de mes copains en Corse abandonnés quelques heures par leur maître.

     Petitalan a dit que ces deux associés avaient été bien sages dans leur écrit, alors nous avons voulu les venger.

    Partis à la chasse avec lui et une bande de traqueurs, j’ai emprunté le GPS que je porte en collier. Connecté à une montre nous avons la maîtrise du parcours. Sagement nous sommes allés en avant. Dès qu’un lièvre a pointé son nez nous lui avons dit

    • Tranquille … file vite par la droite

    Comme une meute bien dressée nous nous sommes engagés à gauche en aboyant joyeusement. Et les voilà qui nous emboîtent le pas … de course. Arrivés sur ce petit sentier un filin leur a barré la route.

    Le premier (Petitalan mon maître) emporté par son élan s’est pris les pieds dans l’obstacle. Dans sa chute, son fusil armé … le coup est parti … il a tué le lièvre qui curieux nous avait suivi. Le deuxième qui collait de près a tiré en l’air, un écureuil qui rangeait ses provisions ramenées du market-noisette s’est pris du plomb dans l’arrière train et a filé dare-dare (c’est un fusil pas une guêpe) abandonnant ses emplettes. Le troisième a maîtrisé sa course. Le voilà qui caracole sur nos traces. Et nous qui jappons (mais non pas à Tokyo) allègrement. Le quatrième et dernier a voulu contourner l’obstacle et se retrouve face au troisième qui ayant entendu les feuillages bruisser allait épauler. Heureusement il garde son sang-froid (comme celui du lièvre) et abaisse son engin (s'il vous plait pas de pensées déplacées).

    Quant à nous … nous cavalons cavalons cavalons comme des fous. Les bois ont fait place aux prés puis à la route. Je pile sec avant qu’une voiture qui tournait ne nous emplafonne. Qu’elle freine des 4 sabots et qu’un … qui … furibard siffle rageusement et crie … hurle la face congestionnée

    • Aux pieds les clébards

    C’est rampant que nous nous exécutons puis relevons le museau les yeux pleins d’amour.

    Zut alors … chiens nous sommes chiens nous restons et restons à notre place. Mais nous nous sommes bien amusés.

    C’est fièrement que Petitalan et son équipe ne rentrent pas bredouille. Les oreilles du lièvre pointent de la gibecière. (La curiosité est un vilain défaut)

    Dans les bois un écureuil panse ses blessures. (Un jour au mauvais endroit)

       

    Je vous invite à aller lire la prestation de mes associés

    Petitalan

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    Alain Gautron

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      Je n'y suis pour rien Petitalan c'est ta meute ....

     


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