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L'automne au Parc de la Tête d'Or de Lyon
Mardi 20 novembre j'ai laissé ma féline elle avait un peu le regard noir
Je vous rassure elle était toute câline à mon retour
Mercredi journée famille
Jeudi c'est un rituel ciné avec mon ami Rony j'ai vu Bohémian Rapsody : j'ai aimé
Avant j'étais monté à la Croix Rousse voir un atelier d'artiste : fermé
Vendredi il a tant plu que ça ne m'a pas trop plu ...
Mais avant que ça verse j'ai visité au Musée d'Art Contemporain une expo qui m'a bien plu elle
Entre le Parc de la Tête d'Or et la cité internationale ce wagon d'un autre temps
Cette belle oeuvre ... prenez un journal froissez le et sculpturez le ...
Les immeubles en briques typiques de la cité internationale
Une très belle expo sur trois niveaux dans des salles immenses
1er étage
19 commentaires -
Il y a eu l'après Bécassine
et aussi
Dans mes fantaisies à la manière du groupe téléphone dans "Cendrillon"
La suite de la fable "Le Chat la belette et le petit lapin"
http://oceanique.eklablog.com/mes-fantaisies-c19166705/9
Maintenant voilà l'après corbeau
Je ne vous narre pas la fable vous la connaissez
***
Renard et corbeau ... les retrouvailles
Maitre renard lunettes sur le nez s’appuyant sur sa canne dans un chemin creux trainait sa vieille carcasse soliloquait dans sa barbe sur ses aventures passées. Comme dans sa jeunesse il était finaud et rusé.
C’est alors qu’au détour d’un sentier, perché sur le dossier d’un vieux banc délaissé, il vit éberlué son compère. Il lui revint en mémoire la manière avec laquelle il l’avait bien eu usant de ruse et flagornerie. Comme la madeleine de Proust il saliva en pensant au fromage vite gagné, vite dévoré. Il regarda son ancien ami un peu benêt d’alors. Trois plumes ornaient sa tête et son plumage était comme lissé avec un râteau aux dents écornées. Il tenait en son bec un fromage si blanc si fin qu’il semblait avoir été écrasé par une meule.
A la vue du Goupil le volatile qui ne volait plus bien haut s’émut. Oui il lui en avait voulu. Oui honteux et confus il ne parla à personne de sa bévue sauf peut-être, les pattes sur la racine d’une bruyère au bord d’une fontaine, à Séléné, une nuit où elle se mirait dans l’onde pure revêtue de sa blanche hermine. D’autres oreilles indiscrètes avaient-elles entendu la confidence. Toujours est-il qu’un mercredi après-midi il vit avec stupéfaction une petite fille jouant à la marelle réciter une fable « Le Corbeau et le Renard ». C’était toute leur histoire au Goupil et à lui. Et même un je ne sais qui la narrer en argot. Il s’était caché puis enfuit en catimini. Pourtant des renards et des corbeaux il y en avait des milliers. Mais lui savait que ça les concernait.
Bon revenons à nos moutons. Le vieux beau n’avait plus fière allure, un peu bigleux un peu boiteux. Le déplumé qui ne voyait pas sa propre déchéance riait sous cape. Doucement il posa sa pitance sur le banc et s’assis dessus. Mais malgré son handicape la manœuvre n’échappa pas au rusé qui déjà imaginait une intrigue à sa façon comme au bon vieux temps.
Bien le bonjour mon ami.
Croa, je n’en croa pas mes yeux, complice de jeunesse. Te voilà bien rendu en âge avancé.
Eh oui, que veux-tu, les ans en sont la cause. Mais toi tu es toujours aussi fringant dans ta superbe redingote.
A ses mots le corbeau se redresse. Se laisse prendre à ces compliments.
Tu croas, pourtant comme toi je ne suis plus de première jeunesse.
Moi j’ai dû courir pour échapper aux chasseurs. J’ai eu parfois le ventre vide. Pas de petit chaperon rouge à dévorer comme Mister Loup. Certain jour pas le moindre petit vermisseau.
Il est vrai que moi j’ai pu picorer dans les champs, partager les rations des petits oiseaux du ciel mises en mangeoire pour les nourrir.
Quoi qu’il en soit je te trouve toujours le plus bel hôte de ces bois.
Le corbeau boit du petit lait, ne se sent plus de joie. Il se trémousse, tortille du croupion.
Goupil pense – Corniaud, c’est gagné je vais encore le berner –
Comme autrefois j’admirait ton envol plein de grâce. Me feras-tu le plaisir de m’en offrir un petit aperçu.
Le volatile s’envole lourdement jusqu’au poteau voisin. C’est alors que redescendant de son petit nuage, sa mémoire le ramène plusieurs années en arrière. Il voit, marri, Maitre renard s’enfuir avec son trophée. Croa,croa, s’exclame-t-il rageur.
Puis stupéfait il regarde son vieil ennemi glapir de souffrance. Il s’approche doucement. Trois dents tombent de la gueule du goupil. J’aurais pu me casser le bec moi aussi.
Alors il se remémore la scène de la veille. Il cherchait sa pitance lorsque sur un terrain en pente il vit voler des fromages comme s’il en pleuvait. Il en attrapa un au vol. Un vieux reflexe lui était revenu et sans demander son reste son larcin en bec il partit pour le déguster en paix. Vous savez la suite …
Tel est prit qui croyait prendre.
Bien mal acquit ne profite jamais.
Vous en avez d’autres des maximes à la noix. Croa, croa…
*****
Voici ma participation
Le choc d'une photo
Le choix des mots
Courrez vite voir ce que mes complices ... euh ! compères vous proposent
Petitalan
http://petitalanplus.apln-blog.fr/
Alain Gautron
Je suis juste de retour d'une escapade à Lyon.
Je pose mes valises, câline Ondine et viens vous voir.
11 commentaires -
Mounette est à Lyon elle rentre demain
Moi j'ai pas accès à la maison juste le couloir mais je peux entrer et sortir
Là c'est mon quatrième panier il est à l'abri mais dehors c'est là que je dors la nuit quand la maison est fermée que Mounette dort et que je ne veux pas rester à l'intérieur. Parfois elle se lève au petit matin pour m'ouvrir.
J'y dors aussi la journée et quand Mounette est venue me capter pour mon book je lui ai tiré la langue comme font les "sales gosses !!!
Je me croirais chez le doc : Ouvrez la gueule ... tireé la langue ... montrez les crocs" parfait
Dans le jardin Mounette a vu son arum refleurir pour la troisième fois cette année
A bientôt Miaou Miaou Miaou je vais à la gamelle
Oui parce que dans le couloir j'ai mon petit panier et ma gamelle de croquettes que la cousine vient remplir tous les jours. Je voudrais bien qu'elle me caresse mais dès qu'elle arrive je pars en courant !!!
Quand Mounette préparait sa valise j'ai voulu l'aider ... Elle a bien ri
Ah oui elle est jolie la valise rose ... Elle se repère de loin quand les filles de Mounette viennent la chercher et aussi sur les tourniquets dans les aéroports. Car noir elle ressemble à tout le monde en revenant de Hong Kong elle a mit du temps à la voir parce quelqu'un l'avait prise et au lieu de la remettre sur le tourniquet il l'a laissée par terre. Alors rose ... vous comprenez ça fait aussi minette mais non pas chat ... minette enfin vous pigez quoi !!!
Elle rentre demain et j'ai hâte parce que la chaleur de la maison me manque ... et aussi les caresses. Parce que pour la gamelle rien à redire
Miaou
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Sur le sentier des arbres emmoussés
Et cet arbre korrigan qui coure en tenue d'automne en logeant l'océan
Et cet épineux pointu pointu
Trois chiens : deux noirs comme les algues et un blanc comme sable et leur maitresse en harmonie
...
Le voilier rose
Le petit catamaran attire les regard
Un joli monstre en noir et blanc
La chapelle de la Sainte-Trinité, qui a donné son nom à la commune créée en 1864, avait déjà succédé à une chapelle Saint-Gildas. La chapelle, devenue église, se révélait trop petite devant l’augmentation de la population, et fût partiellement démolie en 1935 pour laisser la place à l’église Saint-Joseph actuelle.
Furent gardés de l’ancienne chapelle :
- le clocher, surélevé en 1891 pour servir d’amer.- les cloches, « Anne-Louise « et « Marie-Louise-Prudence ».
Elle fût inaugurée le 16 juin 1935.
- le retable du chœur, pièce maîtresse de l’église. Monument historique, il date de 1682.
- deux vitraux du maître-verrier Lux Fournier.
Le bourg, caractère et authenticité
Situé en hauteur et surplombant le port, il prend naissance grâce au rassemblement de quelques chaumières autour de la chapelle avant de s’étendre vers la mer, source de prospérité. Dominant la rade, le bourg s’étire en ruelles étroites et sinueuses autour d’une architecture typique de village breton. Ses maisons de pêcheurs du XIXe siècle, petites mais cossues, et ses murs de pierres sèches lui apportent caractère et authenticité.
La caserne, la rue du Vieux-Puits, la rue de la Vigie, la ruelle des Guetteurs, l’école publique des garçons qui fut la Mairie, la maison des associations et le cimetière avec son magnifique camélia classé, sont autant de richesses de La Trinité-sur-Mer.
Nous n'avons pas tout vu du bourg mais je me réserve d'y aller une autre fois
Quand paraitra cet article je serais à Lyon mais venez voir quand même "Dimanche c'est chat"
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Depuis le parking nous allons vers le sentier côtier
Une flaque d'eau des arbres des reflets je ne résiste pas
Un tronc d'arbre creusé et voilà un banc
Une roselière
La baccharis plante invasive
Le territoire du Morbihan n'est pas épargné par la prolifération de plantes venues d'ailleurs. Au-delà de la seule question de la biodiversité, les nuisances peuvent s'étendre à de nombreuses activités humaines. La lutte, surtout préventive, est l'affaire de tous.
Depuis quand existent ces marais salants à La Trinité-sur-Mer ?
La saline de Kervillen existe depuis au moins 300 ans, on a retrouvé des archives de 1780 qui en parlent. Elle appartenait auparavant à des particuliers mais dans les années 60, l'apparition du réfrigérateur et l'arrêt de la pêche à la morue, ont provoqué une chute du cours du sel. Les gens avaient moins besoin de sel en tant qu'élément de conservation, la saline a donc été abandonnée par les paludiers Trinitains qui se sont rapatriés sur des marais plus productifs comme à Guérande. En 1980, le conseil départemental du Morbihan l'a racheté et l'a classé en « espace naturel sensible », ce qui a permis de conserver les marais en l'état.
© Le TélégrammeL'histoire des marais salants de La Trinité :
Après deux siècles d'existence, les marais salants de Kervillen étaient inexploités depuis une soixantaine d'années et laissés à l'abandon.
En 1980, le Conseil Général du Morbihan rachète les salines. Le site devient espace naturel sensible et en 2010, la réhabilitation des marais débute.Après deux ans d'importants travaux de remise en état, l'activité salicole de Kervillen reprend.
Présent dès l'origine du projet, Damien Phélip, ancien paludier guérandais, est responsable de l'exploitation du "sel de La Trinité sur Mer" dont la commercialisation a débuté le 1er Août 2014....
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Magnifique pin
Contraste entre rochers noirs et océan argenté
Camaïeu de vert et fauve
Et danse les petits voiliers sur l'océan
Fenêtre sur cour
La maison des douaniers à la pointe de Kerbihan
Sur le chemin des douaniers à La Trinité-sur-Mer
Le sentier côtier, ancien chemin des douaniers, est accessible au titre de la servitude du passage des piétons sur le littoral, exclusivement réservé aujourd’hui à la pratique de la randonnée pédestre.
Celui de La Trinité-sur-Mer part du pied du bourg, au niveau du Terre-plein des Américains. Une succession de petites plages ponctue le sentier jusqu’à la pointe de Kerbihan où siège Ty Guard, maison aujourd’hui privée, qui servait à abriter les douaniers qui surveillaient la baie. De là, on observe un magnifique point de vue sur la baie de Quiberon et ses îles.
Le sentier se poursuit en direction de la plage de Kervillen, orientée plein sud. À partir de là, le sentier borde les marais salants de Kervillen, jusqu’au bois de pins du Poulbert. Pour terminer la boucle et revenir sur le port, on emprunte la route côtière et les petites rues des quartiers de Kervourden et Kerhino.Je vous retrouve plus tard beaucoup plus tard car cet après-mpidi je prend le train pour Lyon
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