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La légende raconte que c'est au VIe siècle que sainte Tréphine est décapitée par son époux, l'un des rois de Bretagne, parce qu'elle est enceinte. En effet, celui-ci est averti qu'il doit périr de la main de son fils et il fait subir à ses épouses ce triste sort. Mais saint Gildas ressuscite la malheureuse qui peut mettre au monde son fils miraculé. Conomor est alors poursuivi jusque dans son château de Castel-Finans, avant d'être finalement tué de la main d'un fils adoptif. Au siècle dernier, le culte de sainte Tréphine se développe et l'on décide d'édifier cette petite chapelle néo-gothique qui lui est dédiée. Pour faire face à la foule des pèlerins, on en compte jusqu'à 2 000 lors des processions, des panneaux latéraux sont construits de façon à pouvoir s'ouvrir pour associer les personnes restées à l'extérieur. Une fontaine, située en contrebas, marquait le culte traditionnel de sainte Tréphine et de saint Trémeur avant l'édification de la chapelle.
Chapelle Sainte Tréphine
Fontaine Saint Trémeur
Beau banc plein bois
Le Blavet au delà du barrage
Nous arrivons à travers bois en haut du barrage en travaux d'entretien
Nous avons une belle vue sur le premier site visité
Et même en zoomant sur le bateau coulé
Au retour des vestiges de maisons où la nature a repris ses droits
Petit retour en arrière : devant le restaurant de Beau Rivage en haut du ponton suspendu
3 ânes dans un pré en arrivant à Saint Aignan pour nous diriger vers Sainte Tréphine
Je vais à nouveau vous laisser pour aller m'ioder avec une amie dans une île du Ponant. A bientôt
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Après nous être restaurés nous continuons la visite par un site pittoresque.
La vallée est moins encaissée mais la hauteur d'immersion en pleines eaux permet l'été des loisirs nautiques sur cette station balnéaire.
Au fond coule toujours le Blavet
Pour cette année je ne vous amènerez pas en croisière
Le ponton en escalier ne mène nulle part ...
Une deuxième écluse sur les 17 englouties
Vestige de muret et roche ardoisière
Vestiges de maisons éclusières. Aucun village n'a été immergé lors de la mise en eaux du lac. D'ailleurs vous ne voyez aucune église qui attesterait la présence d'un village.
Verger autour de la maison
C'est émouvant de voir ces maisons dont les murs sont encore à peu près debout
Un gué aménagé permet de passer sur l'autre rive où subsiste une bouée d'ancrage accroché à l'arbre
Nous repassons le gué en longeant la troisième écluse
La hauteur du lac en pleine eau se voit grâce la marque blanche
Caverne d'extraction de l'ardoise
Comme une laisse de mer les branches s'agglutinent sur le bord du Blavet
Borne kilométrique sur ce qui était le chemin de halage ( 3km la sépare de celle que je vous ai montrée sur le premier artiche)
Barque échouée et engloutie
Nous remontons la pente raide le long du ponton suspendu, avant de repartir vers un 3ème site.
Mais ce sera pour plus tard
Vous serez là !!!
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Le lac de Guerlédan est un lac artificiel français situé sur les communes, d'une part, de Saint-Aignan et Sainte-Brigitte dans le Morbihan et, d'autre part, de Mûr-de-Bretagne, Caurel et Saint Gelven dans les côtes d'Amor. Sa formation est due à la construction du barrage de Guerlédan de 1923 à 1930 sur le cours d'eau du Blavet. Il matérialise, en partie, la limite entre le Morbihan et les Côtes-d'Armor.
D'une superficie de 304 ha, long de 12 km et profond de 45m au pied du barrage, le lac de Guerlédan est le plus grand lac artificiel de Bretagne. Ce lac a été créé pour alimenter le barrage de Guerlédan et son usine électrique d'une puissance de 15 Mw, exploitée depuis 1946 par EDF.
Petite anecdote : Je suis avec mes Lyonnais et me fais conduire. Arrivés à Mûr de Bretagne nous suivons les flèches et spontanément je cherche des yeux ... Le Lac oui mais justement il n'y a plus de lac mais une profonde vallée et première impression ... je suis déroutée.
Nous nous arrêtons au parking et descendons sur le haut de la plage en longeant un village de vacances !!! Je propose de participer à la visite guidée et nous ne regretterons pas.
Je vais en photos vous faire découvrir ce site superbe.
Ce lac a été créé pour alimenter le barrage de Guerlédan. Le chantier dura sept ans de 1923 à 1930 et dut faire face à de nombreuses difficultés d'ordre géologique (creusement des fondations pour éliminer une poche d'argile en 1924), technique (barrage-poids de 208 mètres de long) et financier. Faute d'argent, le chantier fut même arrêté de l'automne 1925 au printemps 1927.
La création du barrage a coupé la continuité du trafic fluvial sur le canal de Nantes à Brest qui emprunte, à cet endroit, le cours du Blavet. 17 écluses du canal furent noyées sous les eaux du lac.
La création du barrage a eu pour effet d'ennoyer la vallée du Blavet sur plus de 8 kilomètres. 17 écluses du canal de Nantes à Brest ont ainsi été englouties :
Le Lac a été vidé afin de faire des travaux d'entretien. Les poissons pour les plus gros ont été vendus et les plus petits mis en nourrice dans des lacs alentour. Le dernier assec date de 1985. Les poissons étaient plus nombreux mais la venue de prédateurs comme les silures ont diminués leur nombre.
Ce lac fait l'objet régulièrement de vidanges pour l'entretien du barrage : ce sont notamment les assecs de 1951, 1966, 1975, 1985 et 2015, qui provoquent chaque fois un regain de curiosité pour le site et permettent de dévoilant ainsi un paysage étonnant et de redécouvrir les vestiges de l'ancienne vallée, et des activités humaines autour de celle-ci : des maisons, des jardinets, des écluses, mais aussi l'exploitation du charbon de bois, les ardoisières, les écluses …
Aujourd'hui, la technologie permet d'espacer le rythme des vidanges. Mais suite au renouvellement de sa concession en 2008, EDF a vidé le lac au printemps 2015. Les principaux travaux à réaliser sont la réfection de l'étanchéité de la paroi amont du barrage, la rénovation des deux conduits de fond et de leurs vannes, la construction de batardeaux permettant en principe à l'avenir d'éviter les vidanges totales. La remise en eau est prévue en novembre 2015.
On peut voir sur les rochers de schistes la marque de la hauteur d'eau. Autant vous dire que nous sommes dans l'eau quand le lac est rempli.
Ce bateau n'a pas coulé mais a été coulé par les alliés pendant la seconde guerre mondiale. Ce bateau servait avant pour les ardoisiers à transporter les matériaux. Les allemands s'en sont emparer, les alliés l'ont coulé ...
Remarquez la couleur de ce bras du Blavet
Une des écluses englouties sur le Canal de Nantes à Brest
Une borne sur le chemin de halage. Remarquez le nom du département : Côtes du Nord avant qu'elles deviennent Côtes d'Armor
Une petite pluie nous tient compagnie quelques temps sur le chemin du retour.
J'aime quand la nature nous crée son œuvre laissant transparaître le reflet des arbres.
Pendant que le Blavet se dirige vers le barrage, un petit ruisseau prend un chemin de traverse en passant sur le petit pont et en longeant le vestige su bateau coulé.
Remarquez comme la terre est craquelée et comme l'herbe en profite pour envahir la vallée.
Si Charlemagne a inventé l'école ... les ardoises viennent de ces ardoisières. Imaginez le travail d'extraction et de récupération des feuilles d'ardoises pour ne pas les réduire en miettes.
Nous remontons puis nous dirigeons vers un endroit où de restauration avec des tables pour piqueniquer à l'abri. Nous ne predrons que le café et mes gourmands une Crêpe au sucre.
Nous reprenons la voiture pour continuer notre visite.
Vous vous suivez ~~~~~~ mais ce sera pour plu tard
A bientôt
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Pour le dernier jour les nanas se rendent à Vannes où la Lyonnaise va reprendre son train
Les remparts de la vieille ville et son jardin nous accueillent
La Marle la rivière de Vannes flâne dans les jardins puis passe sous le pont pour alimenter les lavoirs
Les lavoirs de la Garenne sont fermés officiellement en 1951 pour des raisons d’hygiène mais ils seront fréquentés encore jusque dans les années 1960, avant d’être complètement délaissés au profit de la machine à laver. Rendus désormais obsolètes, certains disparaissent, tandis que d’autres font l’objet d’un programme de restauration tels ceux de Vannes par l’architecte du patrimoine Philippe Prost qui s’est achevé en septembre 2006. Aujourd’hui les lavoirs accueillent, dans une certaine continuité historique, les jardiniers de la ville, chargés de l’entretien des jardins, et le service de l’Animation du patrimoine, chargé de la valorisation du patrimoine de la ville.
Nous entrons par la porte de la Poterne
Un étroit pont de pierre, sur l'écluse de la Marle, donne accès à la Porte-Poterne, ouverte en 1678. Elle est surmontée d'une petite niche abritant la copie d'une Vierge à l'Enfant en bois polychrome, dont l'original du XVIIe siècle est déposé au musée de la Cohue. L'arcade en plein cintre de la porte a été supprimée au milieu du XXe siècle pour permettre le passage des voitures.
Fontaine avec Poséidon le dieu de la mer
Nous sortons par la porte Saint Vincent qui nous amène directement face au port. Photo prise depuis le pont de Kérino qui est un pont tournant franchissant le chenal du port de Vannes en aval d'une porte écluse.
Au delà de ce pont c'est l'ouverture sur le Golfe du Morbihan
Avant de nous installer dans un transat pour goûter un instant de repos sous la chaleur de début juillet et un café.
Puis nous repassons la Porte Saint Vincent, passons devant la cathédrale pour retrouver la petite voiture rouge dans le parking proche de la Mairie. Mais avant je prend la photo d'une crêperie qui pour moi a une histoire.
Au début de mon Tro Breiz en juin 2007 je me suis assise à la place de ce couple pour manger une crêpe. La patronne avec qui j'ai parlé de mon projet m'a encouragée.
Quand 32 jours plus tard elle m'a vue arriver dans sa crêperie elle m'a dit : "Vous avez réussi"
Mais c'est pas tout ça le train n'attendra pas et nous partons vers la gare après avoir récupéré la voiture.
Nous avons le temps de prendre à nouveau un café que nous agrémentons d'une part de far que nous nous partageons. Au revoir ma Lyonnaise.
Je vais vous laisser jusqu'à la Mi aou !!! Ma deuxième Lyonnaise vient me voir
A bientôt
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Ce vendredi nous allons en famille manger des crêpes à Locmariaquer.
Ensuite nous allons à La Trinité nous promener.
Les baigneurs style 1900
Fontaine dans une petite rue de La Trinité en parallèle au sentier côtier
Belle chaumière au toit de chaume tout neuf sur le retour vers Auray
Et le petit port de charme de Saint Goustan
Sur le bord de la Ria d'Auray, le petit port Saint Goustan
Vue du port du haut des remparts
Le vieux pont traverse la Ria d'Auray
La rivière d'Auray traverse un seul département, le Morbihan, 10 communes. Ces communes sont Plaudren (source d'origine), Locqueltas, Locmaria, Grand-Champ, Brandivy, Plumergat, Pluvigner, Brech, Plumeret, Auray (embouchure).
Puis nous remontons tranquillement vers la voiture
L'église Saint-Sauveur est située dans le quartier Saint-Goustan d'Auray. Elle est parfois désignée sous le nom d'église Saint-Goustan
Puis nous rentrons tranquillement.
A bientôt pour le départ de la nana vers Lyon
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